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 Esteban "Cohiba" Montoya

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Esteban_Montoya
Messages : 1
Date d'inscription : 12/08/2019

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MessageSujet: Esteban "Cohiba" Montoya   Esteban "Cohiba" Montoya Icon_minitimeMar 13 Aoû - 15:31



MONTOYA "COHIBA" ESTEBAN

PRÉSENTATION



NOM PRÉNOM : Montoya "Cohiba" Esteban
AGE : 38ans
LIEU DE NAISSANCE : WestBlue
SEXE : Masculin
RACE : Humain
CASTE : Bretteur

CAPACITÉS


FRUIT DU DEMON
///

STYLES DE COMBAT

Kitsunebi-Ryu : détenteur d'une ô wa zomano du nom de Libertalia
Ittoryû
Expert en arts-martiaux :
Judo
Karaté
Jiu-jitsu brésilien

LIBERTALIA :


Des légendes et divers écrits mentionnent l'existence d'un homme qui se faisait appeler Barbe Noire bien avant la période durant laquelle Marshall D. Teach a vécu. Rien n'est clair, rien n'est vraiment certain, mais les plus passionnés des pirates y croient dur comme fer. Pour eux, cet homme symbolise la vraie piraterie d'antan, le respect et la liberté. De nombreux noms figurent dans les écrits quant à cette arme, mais l'un d'entre eux revient plus souvent que d'autres : Libertalia, réel symbole de ce qu'était cet homme, une puissance inarrêtable libre de voguer où bon lui semblait.
La légende mentionne une particularité étonnante : selon certains contes, cet homme était capable de diriger les cordages de son gréement à sa guise. Certains disent qu'il maniait les cordes comme nul autre, mais d'autres aiment à penser que cette aptitude lui était permise par son épée, s'appuyant sur le fait qu'il aurait eu pour habitude de caresser le pommeau de son arme lorsqu'il contrôlait les cordages.
Désormais, peu cherchent cette lame, considérée comme engloutie il y a bien trop d'années avec son propriétaire originel.

ATOUT DE BASE
Agilité.

ETALAGE DU HAKI



Haki Kenbunshoku  : Foresight partout

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•  [PALIER 5 : 6]
•  [PALIER 6 : 6]

Haki Busoshoku : Imbuing partout

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•  [PALIER 4 : 4]
•  [PALIER 5 : 5]
•  [PALIER 6 : 6]







PORTRAIT PHYSIQUE


« L’habit ne fait pas le moine » est un adage qui s’adapte plutôt bien au curieux personnage qu’est Esteban Montoya. En effet, son allure de crapule contraste singulièrement avec sa fonction d’officier de la marine au service de la loi et de la justice, ce qui lui complique particulièrement la vie lors de ses rapports professionnels avec ses collègues. Son anatomie semblerait presque avoir été forgée par le diable lui-même, à bien des égards. Déjà, Esteban est roux. C’est déjà un problème en soi. Ensuite, les cicatrices qui lui marquent le corps ne manqueront point d’évoquer à son interlocuteur ces vieux loups de mer qui ont autant dansé avec la criminalité qu’avec leur gueuse rachitique du samedi soir. Ce qui semble clair, c’est que Montoya aurait été physiquement parfaitement taillé pour une vie de pirate sans foi ni loi. Attardons-nous encore quelques instants sur la face de notre roux. Un œil averti reconnaîtra, à n’en point douter, la bosse disgracieuse qui orne le nez du marin comme la marque caractéristique que ce dernier a été cassé à de multiples reprises.
Nul ne sait pour autant quels outils ont pu servir à le mettre dans cet état. Poing, tabouret, matraque, main de jeune demoiselle effarouchée, peut-être les quatre en même temps ? Une autre particularité du rouquin serait sans aucun doute ses yeux, qui renforcent encore d’avantage cette impression dérangeante qui vous envahit lorsque vous observer Esteban Montoya. Ce dernier dispose de cette étrange et rare caractéristique que l’on nomme « yeux vairons ». Un œil bleu (je-suis-tellement-déchiré-que-l’océan-m’a-l’air-vachement-flashy), l’autre vert (ça-fait-trois-jours-que-je-bouffe-de-la-verdure-et-ca-se-voit-à-la-couleur-de-mon-vomi). S’il ne vous est jamais arrivé d’être fixé par un Homme aux yeux vairons au cours de votre vie, sachez qu’il s’agit là d’une expérience très dérangeante que je ne recommande pas à beaucoup de gens. Vous ne savez jamais quel œil regarder et cette singularité semble jeter un voile opaque sur les profondeurs du regard du marin, tant et si bien qu’il serait bien impossible de deviner la teneur profonde de son regard. On reconnaîtra en la barbe soigneusement rasée du roux la marque significative d’un homme d’une grande prestance, accordant beaucoup d’importance à l’esthétique et au visuel.
Les plus visionnaires d’entre nous pourrait d’ailleurs voir en cette moustache pointue dont il est si fier la marque de sa cruauté et de son amour inconditionnel pour le luxe des hautes sphères de l’Etat. Enfin, la chose qui vous aura certainement sauté aux yeux sera la nature incongrue de sa chevelure. Vous vous êtes sûrement dit en voyant ce drôle d’homme approcher : « Milles sabords ! Quelle jolie serpillère ! ». Permettons-nous à présent de descendre –Mais pas trop- le long du corps d’Esteban. Les bras et le torse du soldat démontre qu’il s’agit d’un homme plutôt poilu –Poilu et roux, qui plus est- et on remarquera sans trop de soucis que ces derniers éléments anatomiques ne sont pas en reste côté cicatrices non plus. Les avants bras et le torse du rouquin semblent ornés de fines traces blanches, attestant pour la plupart de la rudesse de la vie du marin. Esteban Montoya est un homme d’une ossature convenable, légèrement costaud atteignant facilement les deux mètres de haut, ce que l’on pourrait qualifier sans trop de soucis de « norme ». La musculature du jeune homme n’est pas flagrante, si ce n’est la taille respectable de ses bras ; mais ne vous fiez pas à la svelte corpulence du marin. Beaucoup sont ceux à avoir finit dans un caniveau à l’arrière d’une maison close miteuse pour avoir vu en Esteban Montoya un simple gringalet. Les mains de ce dernier font échos à la cruauté et à la brutalité qu’exhalent les yeux du marin. Elles semblent fermes, solides, comme restées inconnues au tremblement caractéristique d’un homme qui cède à la peur. Non pas que notre homme n’ai jamais craint quoi que ce soit, n’étant pas plus courageux qu’un autre il craint la mort …
Mais ces mains là ne tremblent pas. Elles ne tremblent jamais, à vrai dire. Elles sont à l’image de leur détenteur : un peu poilues mais impitoyables. Les mains du guerrier, enfin, sont pour la plupart ornées de bagues de toutes sortes, afin de consolidé la soif de luxe de leur maître. C’est lorsqu’elles sont munies d’un poing américain que ces extrémités atteignent le sommet de leur art – art se basant en grande partie sur l’expérience acquise lors de combats de rues dans des bas-quartiers. Descendons encore d’avantage –En omettant un certain passage pour ne pas heurter la sensibilité d’un public non-averti – et attardons-nous quelques instants sur les jambes de Grant. On saura reconnaître –derrière un écran de poils roux, certes- l’évidente musculature des jambes d’Esteban, qui semble certes plus apparente que les abdos vaguement dessinés du marin. Le coureur averti peut reconnaître en cet homme l’un de ses semblables, bien que ce ne soit peut être pas pour les mêmes raisons qu’ils partagent cette intéressante particularité que d’avoir des cuisses et des mollets saillants. Ayant terminé le tour de la chair de notre homme, permettons nous de poursuivre sur le style vestimentaire dont « Cohiba » s’est rendu le maître incontesté. La parure du jeune homme est le point le plus crucial qui unit Montoya à sa passion pour le faste de la richesse et de la luxure.
Des étoffes particulièrement colorées, allant du bleu turquoise au pourpre royal, en passant par un rouge écarlate, le militaire est un amoureux des couleurs vives qui attirent l’œil. Si ses bagues sont pour l’instant de fer forgées, Esteban ne tardera pas à les remplacer par des pierreries toutes plus kitchs les unes que les autres. On notera également que le soldat ne peut presque jamais se séparer de son manteau d’officier, tant son appartenance à l’armée est remise en doute par l’extravagance de son habit et de son corps. On notera également la présence de son sabre solidement attaché sur son flanc droit – Roux et gaucher, quel malheur.- et celle d’un pistolet à sa ceinture. Enfin, Esteban garde toujours- ou presque- un couteau de bonne taille au niveau de ses reins, au cas où un combat tournerait en sa défaveur – Un coup déloyal dans la gorge est si vite arrivé..



PORTRAIT PSYCHOLOGIQUE

D’un naturel plutôt contestataire et égoïste un vrai. C’est sans aucun doute possible ce qui le caractérise le plus. Cela signifie qu’il ne pense qu’à lui dans chacune de ses actions, à ce que pourrait lui rapporter telle ou telle chose. C’est ainsi qu’il fonctionne. Le militaire s’est déjà vu corrigé à maintes reprises pour avoir tenu tête à ses supérieurs – Comment y résister quand on voit son caporal louché sur une mouche à merde posée sur son nez aussi long que gras ? Rien n’amuse plus le roux que de tourner en ridicule un adversaire pour le faire sortir de ses gonds. Le bon vieux Montoya est ce que l’on pourrait appeler une grande gueule. Une vraie bonne et grande gueule. Il ne rate jamais une occasion de l’ouvrir, de donner son point de vue, souvent tranché et sans concession. Et lorsque l’on n’est pas d’accord avec lui, cela se règle souvent à coups de poings, un petit jeu où, bien souvent, il gagne. Un adversaire qui bave en maudissant d’une manière très courtoise votre mère pour vous avoir mis au monde est toujours plus imprévisible qu’un adversaire en pleine possession de ses moyens. C’est d’ailleurs en usant de cette technique que le jeune homme a pu survivre. Il semble pourtant nécessaire de préciser que cette stratégie est à double tranchant et qu’elle ne garantit en rien une victoire – comme en attestent ses cicatrices. Vous l’aurez compris, Esteban est un homme fondamentalement malhonnête. La ruse est sa déesse, le parjure son compagnon de cellule, la fourberie son amante la plus farouche. Le rouquin n’est pas le genre d’homme à se frotter le corps sur des arbres à la simple audition du mot « honneur » comme certains soldats de la marine peuvent encore le faire.
Sachant qu’il ne va pas mourir vieux, notre héros s’est mis à vouer un culte aux cigares depuis quelques années après en avoir goûté un. Il aime leur odeur, le goût qu’ils laissent dans la bouche et l’aspect baroudeur sauvage qu’ils lui donnent : c’est donc autant pour la frime que pour le goût qu’il les fume. Ah oui, la frime… J’avais oublié ce « détail ». Comme toute grande gueule égoïste qui se respecte, notre ami est un vantard invétéré qui ne manquera jamais une occasion de se mettre en avant, si besoin en rabaissant les autres. Beaucoup d’hommes honorables gisent aujourd’hui au fond de l’océan ou 6 pieds sous terre et Montoya n’a aucunement envie de les rejoindre. Il ne sera donc pas le moins du monde intéressé par l’idéal d’une mort héroïque en première ligne, pour finalement finir son ascension au sommet dans un cercueil miteux décoré par une quelconque décoration pour « service rendu à la nation ». Je vous laisse deviner l’état de jubilation absolue qui emplit le roux lorsqu’il tombe un adversaire stupide braillant les vertus de l’honneur à tort et à travers.
Ce sont généralement ses ennemis préférés. Si vous êtes toujours avec moi, je vous propose de poursuivre sur la plus grande faiblesse et la plus grande force de notre homme : son insatiable ambition. Elevé dans des conditions de vie misérables, Esteban Montoya qui est parvenu aujourd’hui à s’échapper de cette misère en est ressorti assoiffé de richesses et de gloires. Le fait d’avoir été privé de tout semble avoir créé en lui un besoin incommensurable de luxe et de renommée. Il aime avec ferveur le reflet de l’or, le goût du bon vin, de la bonne nourriture, et serait prêt à tout donner pour en faire son quotidien. Il voue une ardente passion à la reconnaissance que l’on reconnait aux hommes publics, et cherche à s’accaparer leur trésor de gloire. C’est comme si le petit garçon des bas quartiers souhaitait aujourd’hui que tous, de West Blue jusqu’au Nouveau Monde, connaissent et reconnaissent son nom. Mais s’il est bien une chose qui en ce monde provoque au roux le plaisir le plus grand qui soit, c’est bien la domination totale dont il fait l’étalage lors de ses victoires. Rien ne lui est plus plaisant que de voir son adversaire s’écraser devant lui, se soumettre à sa volonté, ravaler toute forme d’amour propre pour finalement se voir écraser les restes de son esprit par la poigne de fer du rouquin. Esteban Montoya aime soumettre ses adversaires sous son joug et c’est en ce sens qu’il cherche à ce point à monter en grades au sein de la Marine.
Il ne s’arrêtera qu’une fois qu’il aura atteint les plus hautes sphères de l’armée gouvernementale, et ce dans la branche la plus rigoureuse qui soit. Mais s’il est bien une chose qui en ce monde provoque au roux le plaisir le plus grand qui soit, c’est bien la domination totale dont il fait l’étalage lors de ses victoires. Rien ne lui est plus plaisant que de voir son adversaire s’écraser devant lui, se soumettre à sa volonté, ravaler toute forme d’amour propre pour finalement se voir écraser les restes de son esprit par la poigne de fer du rouquin..


BACKGROUND

Histoire brève :
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Journal de suivi, jour 1

   "Un petite quartier sans vraie réputation dans la banlieue d’une grande ville d’East Blue m'a vu naitre et sans déconner, la qualité du climat, des gonzesses, de l'alcool et du reste était pitoyable... Après vous me direz, quand on est gosse on pense à autre chose, le problème, parce que oui il y en a un, c'est que je ne connais pas le terme d'enfance. J'ai toujours observé avec de grands yeux interloqués les autres jouer ensemble, rire surtout, cette chose que je ne faisais jamais à l'époque. Ça fait tellement dépressif de raconter ma vie comme ça, en écrivant dans ce journal débile... C'est l'enfoiré de médecin qui me demande ça, le mec se croit tellement tout permis avec moi qu'il me donne des ordres. Si tu lis ça enfoiré, c'est que je t'ai laissé la vie sauve par pitié ou parce que je n'ai pas envie de me salir les mains, tu vaux pas grand chose de toute manière, regarde où tu officies... ridicule. Sans déconner, c'est moi qui vais mal ? Bonhomme si j'habitais dans ton taudis, je me poserais des questions hein, pauv' con."
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Journal de suivi, jour 2

   "Selon le doc' je n'ai pas trop compris le principe du journal intime. En fait je suis sensé raconter ma vie à un pauvre bouquin qui ne sortira jamais de ce bureau, et tout ça dans l'optique d'être jugé sur le contenu pour ensuite être jugé (encore une fois) apte ou non à poursuivre ma carrière dans la marine, très bien. Alors le début est simple, je suis né tranquillement, beau temps mais rien de folichon, j'ai grandi sur la petite rocaille qui nous servait d'ile avec mes amis, j'allais à l'école normalement mais on a décelé chez moi un truc génial, des capacités qui me rendaient plus développé intellectuellement, alors forcément avec la jalousie qui régnait dans cette communauté de merde, bah on m'a pris la tête et j'avais plus de potes ! Du coup j'ai commencé à me venger sur tout ce qui bougeait, ou pas d'ailleurs. Rapidement on m'a fait comprendre que c'était pas la bonne solution et... Bon, voilà le problème : Ma mère était gentille, belle et attentionnée, parfaite en fait. Lorsque je rentrais de l'école, mon goûter m'attendait sur la table avec quelques bonbons, c'était génial. Le problème venait de mon père, un pauvre ivrogne décérébré complètement bouffé par les liqueurs qu'il consommait directement au goulot. Chaque soir les mêmes bruits se répétaient dans la salle à manger alors que je me réfugiais dans ma chambre. Des grosses claques pleuvaient sur ma mère, tout le temps et sans aucune raison. Mon père était une de ces raclures de pirate, c'est lui qui a dû me forger cette haine viscérale envers tous ces connards... Et merde ! Je me casse, la psychanalyse ça me prend la tête et pas que, lis bien ces lignes abruti de blouse blanche : Je me tire ! "
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Journal de suivi, jour 4

   "Bon finalement euh... Je vais rester calme et continuer mon récit (je suis un peu obligé vu les mecs qui me surveillent, bref). Mais par contre je vais sauter les étapes où je ridiculisais tout le monde aux jeux cérébraux, en même temps ils étaient tous attardés... Bon, à un moment ma mère (parce que mon géniteur n'était pas là, n'était jamais là quand il fallait en fait, toujours entrain de picoler) comprit que quelque chose n'allait pas, en même temps alors que j'avais dix-sept ans, je comptais déjà un petit palmarès. Pourtant ce n'était pas des délits merde ! Tout au plus des services rendus : On m'a accusé d'avoir jeté une fille à la mer, en même temps elle ressemblait à rien, et les femmes-thons doivent être avec les hommes poissons non ? On m'a ensuite jugé également coupable de vol à la fête foraine, c'était du tir à la carabine et je n'avais jamais compris pourquoi les gens se faisait chier à défoncer les pauvres ballons au lieu de braquer le gérant... Bref c'est à ce moment ci que ma maman d'amour me proposa de faire des activités ! Superbe idée, mais elles (les activités) étaient nulles au possible, toutes très nulles...
Sauf une : Le tir de précision. Le but était simple, couché ou debout à plusieurs dizaines de mètres, nous avions cinq cibles d'un diamètre de cinq centimètres à abattre. Je vous laisse comprendre, docteur, la précision et le contrôle de nous même que nous devions avoir. Parce que là résidait mon problème : J'étais une pile électrique ! Impossible de me canaliser jusqu'à ce que je réalise ce premier tir en plein centre, c'est là que j'ai compris ma voie et... - Stop Esteban, nous allons nous arrêter là. Je te remercie. - Quoi ?! Attends tu me soules pour que je rédige des trucs et quand je le fais tu me coupes ? Tu veux que je t'explose enfoiré ?! Vous me gavez ! Je me casse ! Sérieux, heureusement que dans la marine ils sont pas aussi cons, sinon ça ferait un bail qu'on tiendrait compagnie aux pierres au fond des Blues !"
--
Journal de suivi, jour 12

   "Hey ! Vu que l'autre enfoiré ne voulait pas que je continue mon histoire, j'ai volé le cahier et je me suis tiré. Malin hein ? Bref... La dernière fois je disais que j'avais trouvé ma voie lors de ce tir d'anthologie, poussé par l'idée de me venger de mon père et avec l'aval de ma mère, je prenais la direction de la marine, ça c'était vers 21 ans, mais j'avais toujours échoué aux premiers examens. C'est là que m'est venu l'idée de devenir artificier pour la marine en créant de la poudre à canon et autre objet sympathique du même genre. C'est juste l'année de mes 28 ans, donc il y’a une dizaine d’années, que je me décidais à retenter le concours, et me voilà désormais, à me faire chier pour passer les tests d'aptitudes psychologiques. À les écouter je suis taré, mais c'est que leur put*** d'avis ça, pas la vérité ! Donc je vais retourner voir l'administration et pousser de moi même ma candidature, bye petit cahier ! PS : Doc', si tu retrouves ce cahier et que tu l'analyses, je te démonte."

MADE BY AXIANE


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GuzmarireGuzmarire
Messages : 55
Date d'inscription : 18/03/2018

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MessageSujet: Re: Esteban "Cohiba" Montoya   Esteban "Cohiba" Montoya Icon_minitimeMar 13 Aoû - 19:43

FICHE ACCEPTÉE

Tu commences Palier 1, avec la Caste Épéiste et dans la Faction Néo-Marine

Tu es le seul maître du Kitsunebi-Ryû et dispose de ses techniques. Ta lame inventée est acceptée et sera rajoutée à la liste (ses capacités ne sortent cependant pas de l'ordinaire mais restera digne des O Wazamono).

Tu possèdes le Kenbunshoku no Haki.

Bon RP à toi !


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Esteban "Cohiba" Montoya

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